Lié à une quinzaine de société dont plusieurs sont en déshérence quand elles n’ont pas été liquidée, Jean-Claude Vaillon, 74 ans, a été condamné plusieurs fois pour escroquerie ou pour des loyers impayés.
Sommaire
Toggle- De Troyes à Paris 16e en passant par Versailles et Neuilly
- Habiter dans le 16e arrondissement sans payer de loyer
- Liquidation judiciaire et interdiction de gestion pour Caroline-Diane Darde
- Jean-Claude Vaillon en sauveur de la raffinerie Petroplus
- Il échoue dans le kebab et se refait dans l’immobilier de crèches
- Encaisser personnellement les chèques des investisseurs
- Un gérant d’Appel Immo France radié d’office
- A 74 ans et toujours dans les déménagements
- 15 février 2022: Jean-Claude Vaillon nous appelle pour démentir
De Troyes à Paris 16e en passant par Versailles et Neuilly
Jean-Claude, Edmond, Henri Vaillon est né en 1947 à Loches-sur-Ource, à quelques encablures de Troyes, dans l’Aube. Il serait entré dès la fin de ses études à la Société générale, d’abord dans une agences de Troyes, avant d’être déplacé à Versailles et enfin, à Neuilly-sur-Seine.
L’un de ses profils Linkedin indique qu’il aurait été embauché par la banque bien plus tard, en 1990. Mais l’un de ses proches contredit cette version. En 1990, il avait 43 ans et il était déjà, semble-t-il, depuis un bon moment dans cette banque.
Mais 1990 correspond à une époque à laquelle il dépose, trois marques pour les protéger: « Consortium européen d’expansion » (doublé de deux sociétés), « A.N.A.F. » et « Jazz-mode ». Des projets avortés? Il réitère en 1997 en déposant « Samu-Logistique » (doublé d’une société administrée par sa femme) et « Logic Confort ».
A moins que son profil Linkedin (il en a créé quelques-uns) soit également trompeur sur ce point, il serait resté dans cette banque jusqu’en 2007. Jusqu’à son départ de la Société Générale, il a trouvé le temps de participer à la création d’au moins cinq sociétés :
- SCI Albon sous le nom de « Jean Vaillon » en 1981,
- Consortium européen d’expansion Benelux au Luxembourg en 1990,
- Consortium européen d’expansion en France en 1989,
- Relais Balthazar en 1986,
- JC Import en 1992.
En 2007, il a alors 60 ans mais il n’a pas du tout envie de prendre sa retraite. L’année précédente, il a créé sa propre société, une entreprise individuelle, dans l’activité du « Conseil pour les affaires et autres conseils de gestion ».
En 1996, il a 49 ans. Il se remarie avec une jolie jeune femme de 23 ans née dans un quartier que Jean-Claude Vaillon affectionne : le 16e arrondissement de Paris. Caroline-Diane Darde aime le chamanisme, les pensées du mystique du bogomile et bulgare Omram Aïvanhov, la spiritualité égyptienne ou encore les thérapie énergétique. L’année même de leur mariage, elle donne naissance à une petite fille.
Habiter dans le 16e arrondissement sans payer de loyer
Jean-Claude Vaillon doit donc nourrir sa famille. Et surtout la loger.
En 2005, il emménage avenue Alphand, à Paris, non loin de l’avenue Foch. Ca ne se passe pas bien. Jean-Claude Vaillon refuse de payer son loyer. Les impayés s’accumulent pour culminer à 29 000 euros. Les propriétaires, un couple d’étrangers, quittent l’hexagone traumatisés. La famille Vaillon déménage de nouveau en 2008.
Jean-Claude Vaillon a trouvé le couvert rue La Fontaine, une autre superbes artère parisienne, contre un loyer de 2200 euros. Mais il négocie avec le propriétaire. Contre deux mois de loyers gratuits, il obtient de refaire la peinture à ses frais. Mais il n’y procèdera pas.
En revanche, fin juillet, il prétend découvrir une fuite d’eau dans le plafond de la salle de bain et la fait constater par un voisin. Il part en vacances sans fermer l’arrivée d’eau de l’appartement. Aucune fuite n’était pourtant inscrite sur l’état des lieux. Mais Jean-Claude Vaillon prétend, sûr de lui, qu’elle est antérieure à son emménagement.
En octobre, Jean-Claude Vaillon adresse un courrier pour avertir qu’il fait venir un expert. Il a découvert des tuyaux, certes désaffectés, mais en plomb, ainsi que des conduites d’eau croisant le réseau électrique. Il s’insurge également du fait qu’il n’y aurait dans ce logement que deux radiateurs pour six pièces, ainsi que des prises de courant « inexploitables ». « Nos trois enfants, allergiques, sont malades, bien que sous traitement depuis un mois ». Jean-Claude Vaillon réclame un « abattement lié aux nuisances que nous subissons ».
En 2011, les Vaillon décident encore de déménager, laissant derrière eux une ardoise de 40 000 euros d’impayés. Ils trouvent une nouvelle adresse, non loin de là, rue Vital, toujours dans le 16e arrondissement, pour un loyer, rarement payé, de 2800 euros.
Le couple s’écharpe régulièrement. Le ton monte assez pour que leurs voisins s’en souviennent. Malgré leurs difficultés financières, ils tiennent à inscrire leur fille dans une école catholique réputée du quartier.
Liquidation judiciaire et interdiction de gestion pour Caroline-Diane Darde
Comble de malchance, l’institut de beauté installé à Houilles et racheté 500 euros pour Caroline-Diane Darde en 2011 est placé en redressement judiciaire l’année suivante. Le tribunal de commerce de Versailles ouvre un redressement judiciaire en juin 2012. La liquidation judiciaire est prononcée en juillet 2012. A cette occasion, Caroline-Diane est interdite de gestion pendant 5 ans.
En 2013 Le couple Vaillon-Darde déménage encore une fois, direction le boulevard Lannes, toujours dans le 16e arrondissement parisien. Il quitte cet appartement en 2016, laissant une dette locative de 18 000 euros et une procédure judiciaire contre lui. Nouvelle adresse: rue Alfred Dehodencq, toujours dans cet arrondissement parisien qu’il affectionne. De nouveau, il cesse rapidement de payer les loyers. L’un des propriétaires floué a estimé que de 2005 à 2017, ce sont près de 377 000 euros de loyers impayés qui se sont accumulés.
Jean-Claude Vaillon en sauveur de la raffinerie Petroplus
En 2013, Jean-Claude Vaillon reçoit une vocation. Il veut sauver la raffinerie Petroplus de Rouen, placée en redressement judiciaire l’année précédente. Sur le site de l’usine, Vaillon monte sur un podium pour défendre son offre devant les salairés en grève
Face à son offre, celle d’un groupe libyen et celle de la société panaméenne NetOil. Jean-Claude Vaillon prétend représenter la société luxembourgeoise, GTSA, qui serait prête à mettre 500 millions d’euros sur la table. Sans doute cette entreprise luxembourgeoise. Ce n’est pas l’offre de Jean-Claude Vaillon qui est retenue. Mais cette sortie de l’ancien banquier laissera quelques traces sur le net et dans un fanzine de la CGT.
Il échoue dans le kebab et se refait dans l’immobilier de crèches
Dans la décennie 2010, Jean-Claude Vaillon se rêve entrepreneur. Par tous les moyens. Il se lance d’abord dans le kebab. Sans succès.
En 2016, il va saisir une formidable opportunité, dans l’immobilier de crèches, grâce à une rencontre fructueuse avec un autre affairiste: David Brehm, également appelé David Brehm-Prica ou encore David Prica-Brehm. C’est en nous intéressant à David Brehm que nous avons découvert le parcours de Jean-Claude Vaillon.
Sous le coup d’une procédure judiciaire pour laquelle il sera condamné en 2021 à cinq ans de prison, Brehm vient alors d’être d’être viré sans ménagement du groupe Yoopala. Il propose à Jeau-Claude Vaillon de le rejoindre chez Minilions, une entreprise de crèche. Jean-Claude y intervient comme spécialiste de l’immobilier alors qu’il travaille pour Stern & Cie. Il place sa fille, tout juste 20 ans, comme actionnaire minoritaire de Minilions.
Il rejoint Minilions en 2016 alors qu’il travaille pour Stern & Cie comme spécialiste de l’immobilier, grâce à l’aide d’un affairiste, David Brehm-Prica, tout juste viré du groupe Yoopala et sous le coup d’une procédure judiciaire pour laquelle il sera condamné en 2021 à 5 ans de prison ferme. Jean-Claude Vaillon place sa fille, tout juste vingt ans, actionnaire de Minilions. L’aventure tourne court. Lui et David Brehm sont virés. Mais David Brehm lui aura trouvé de grandes qualités puisqu’il l’embauche aussitôt dans sa propre entreprise de crèches: HeidiDom, qui deviendra bientôt Montessori NeoKids.
Jean-Claude Vaillon y est « directeur des opérations immobilières », chargé de trouver des sites capables d’accueillir des crèches. Cette fois, il place sa femme, Caroline-Diane Darde-Vaillon, actionnaire minoritaire d’une société anglaise, Erfond Limited, dont le gérant est né en 1939 et qui est la propriété de David Brehm, via laquelle il contrôle le groupe Montessori NeoKids.
Encaisser personnellement les chèques des investisseurs
Hélas, l’aventure va laisser des traces judiciaires. Jean-Claude Vaillon est condamné en 2019, à l’age de 72 ans, à deux ans de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Reims pour escroquerie en récidive. Il fait aussitôt appel de cette décision.
Vers 2015, il avait proposé à un couple de médecin retraités d’investir dans ces fameuses crèches. Mais Jean-Claude Vaillon avait fâcheusement tendance à faire encaisser les chèques par des amis qui viraient ensuite cet argent sur un compte Nickel ou sur un compte tenu par Jean-Claude Vaillon dans une banque étrangère.
C’est la fille du couple qui avait mis ses parents en relation avec lui. Jean-Claude Vaillon s’était fait fort de lui trouver un emploi et un logement à Paris. Derechef, le mentor avait encaissé le chèque de caution sur son compte personnel sans trouver de gite et de couvert pour cette jeune femme.
Un gérant d’Appel Immo France radié d’office
Une condamnation qui n’arrange pas ses affaires. Jean-Claude Vaillon est justement en train de développer une nouvelle société, Appel Immo France. Sa femme en est l’actionnaire unique et lui le dirigeant. Créée le 1er décembre 2016, Appel Immo est radiée le 15 décembre 2016 d’office.
Jean-Claude Vaillon avait trouvé une jeune femme de 29 ans pour diriger la société à sa place. Mais un juge chargé de surveiller les inscriptions au registre du commerce et des sociétés ne l’a pas vu du même œil. Jean-Claude Vaillon a trouvé en urgence un nouveau gérant mais rien n’indique que la société a pour autant une existence légale.
Coïncidence ou pas, une certaine Michèle Escher Vaillon, a créé une société en 2015, deux ans avant son décès, survenu l’année de ses 91 ans.
A 74 ans et toujours dans les déménagements
En attendant de développer Appel Immo, Jean-Claude Vaillon continue ses pérégrinations. En 2017, il a déménagé avenue Rodin, extraordinaire voie privée au cœur de ce 16e arrondissement que Jean-Claude Vaillon affectionne. Le loyer est de 4500 euros. Il n’est pas plus payé là qu’ailleurs, alors même qu’en 2018, le couple déclare au fisc un revenu annuel de 127 000 euros, malgré une dette fiscale d’environ 40 000 euros.
Seulement, Jean-Claude Vaillon a pris soin de domicilier ses revenus sur des comptes bancaires à l’étranger, au Portugal et en Allemagne et pas en son nom propre. L’intéressé garde de ses années de banquier une parfaite connaissances des procédures de recouvrement.
Tant et si bien qu’en 2019, le couple Vaillon a du de nouveau déménager dans un appartement du boulevard de Courcelles. Un terrible déclassement. Le boulevard de Courcelles se trouve dans le 17e arrondissement de Paris…
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Mise en relation avec d’autres utilisateurs15 février 2022: Jean-Claude Vaillon nous appelle pour démentir
Depuis la publication de cet article, nous avons été contacté le 15 février 2022 par l’employeur de Jean-Claude Vaillon. Paniqué par la découverte de cet article, il a obtenu de Jean-Claude Vaillon qu’il nous contacte pour répondre à notre publication. Nous nous sommes donc entretenus avec Jean-Claude Vaillon par téléphone.
« On est à des années lumière de ce que vous avez écrit » a-t-il commencé par nous expliquer. « J’ai 55 ans de métier. J’ai démarré à la Générale à 17 ans avec seulement un BEPC en 1964 et je me suis retrouvé grand patron de la gestion de fortune à Versailles et Neuilly, fondé de pouvoir à la direction du réseau. Tous les trois ans, je montais en grade. J’ai été le banquier de J’ai été le banquier de l’Oréal, de Procter & Gamble, Lacoste, Petit Bateau ou la banque Majorelle. J’ai même travaillé pour Bernard Tapie ». Jean-Claude Vaillon fait référence au Consortium européen d’expansion.
Il met d’ailleurs ses impayés de l’avenue Alphand sur le compte de la déconfiture de l’homme d’affaire, qui l’aurait laissé sans revenus du jour au lendemain. Ses propriétaires étrangers ne seraient pas retournés dans leur pays à cause de lui, mais à cause d’un décès.
Pour expliquer sa condamnation à Reims, Jean-Claude Vaillon précise avoir été trahi par un notaire et un avocat. Interrogé par la police, ils l’auraient chargé lui pour s’éviter des poursuites. « A leur place, j’aurais fait pareil », nous a-t-il confié. On lui aurait demandé de « détourner la succession d’un enfant adultérin ». A cette occasion, il explique avoir été, le plus honnêtement du monde, obligé d’encaisser des chèques en blanc sur le compte bancaire de sa propre fille.
C’est en citant cet article d’un confrère que nous avions évoqué l’investissement de Jean-Claude Vaillon dans le kebab. « Faux » nous a-t-il rétorqué. « Je n’ai jamais été dans les Kebab. J’ai effectivement eu un client qui était dans les kebabs que j’ai conseillé deux ou trois fois pour rien ». Nous lui avons suggéré de prendre contact avec l’Union de Reims qui a publié cette information en 2019, il y a presque deux ans. Mais Jean-Claude Vaillon a opposé sa paresse, « en ce qui concerne ce genre d’histoires ».
Jean-Claude Vaillon ne se souvient pas d’avoir déposé autant de marques. Deux seulement lui sont revenues en mémoires. l’ANFAF serait un annuaire administratif qu’il aurait racheté 100 000 francs pour le revendre 900 000 franc. Samu-logistiques serait un concept d’ « hôpital anti-sismique » inventé et déposé avec l’autorisation du SAMU de Paris et revendu. Les autres marques déposées: « c’est pas moi. Connais pas ».
A la raffinerie de Rouen, Jean-Claude Vaillon affirme être intervenu « comme conseil pour essayer d’aider les syndicalistes à vendre cette raffinerie qui n’avait aucune chance de subsister »
Malgré les trois condamnations pénales dont il a fait l’objet, Jean-Claude Vaillon considère David Brehm comme un « type honnête ».
Depuis lors, Jean-Claude Vaillon, qui nous a précisé avoir en réalité 6 enfants, nous a assuré s’être reconverti dans l’immobilier. « Je suis en train de vendre pour un milliard d’euro d’immobilier dans Paris » nous a-t-il raconté.
Félicitation – votre article traduit parfaitement la triste réalité !
On aurait pu rajouter de nombreux sujets d’incivilités publiques – des usages de faux – des vols, des destructions de biens, d’appartements, de voitures, de colis,
La méthode Vaillon est bien rodée !
Les restaurateurs du 16 , bouchers, boulangers, s’en souviennent parfaitement – des ardoises fleurissantes et des scandales publiques.
Ce couple sont des vrais princes des mauvaises pratiques pour ne pas écrire des ROIS …
Les huissiers le connaissent par coeur !
Les déménageurs aussi car les Vaillon entreposent des meubles d’en 3 garde-meubles dans le 78 et le 77 ..
Le vol et la destruction font partie de la méthode et du professionnalisme : « Vaillon » – Escrocs en col blanc connaissant la méthode de la crise cardiaque devant les gendarmes et les juges afin de paraitre la victime du capitalisme et de gagner du temps.
Avec l’aide de personnes de la franc maçonnerie ont le retrouve dans des lieux et des affaires des plus surprenants – vous en racontez mais on pourrait rajouter Arnaques :
» locations de voitures de luxe »,
» écoles supérieur de mode »
» Arnaque dans l’import / export de noix de Cajou »
» arnaques à l’assurance »
« Arnaques sociales »
Sa retraite saisie directement par les impôts, mais lui laissant un reliquat important
Un trésor espagnol et portugais … le fisc devrait le rechercher
Car il est facile à retrouver car il a toujours sont même numéro de tél.
et pour finir son casier judiciaire est un vrai poème ..
que dire de ses 2 premières femmes auxquelles il a tout aspiré
Bravo de partager ces informations et de porter aux publiques ces informations car ces personnes continuent de pourrir la vie de nombreuses personnes et on est bientôt en 2023….
Merci de votre message.
Mediapart publie un article intitulé « Derrière le vernis Montessori, l’effondrement des crèches NeoKids » et ainsi chapeauté: « Alors que le gouvernement promet la création de 200 000 places d’accueil du jeune enfant, le business des crèches privées échappe toujours au contrôle de l’État. Le réseau Montessori NeoKids, qui vient d’être placé en redressement judiciaire, en est la parfaite illustration. »
Une nouvelle identité: Jean Richard, mandataire immobilier
Suite à la publication de cet article, nous avons été contacté par une nouvelle victime de Jean-Claude Vaillon. Cette personne travaille dans l’immobilier de luxe et elle a été contactée par un certain Jean Richard, se présentant comme mandataire dans la vente d’un immeuble haussmannien de près de 6000 mètres carrés.
Pressant, grandiloquent, trop sûr de lui, Jean Richard a éveillé les soupçons de ses interlocuteurs. Surtout, il s’est trahi lorsqu’il s’est prétendu mandataire d’un bien dont il ignorait que ses propriétaires étaient des familiers de ses victimes du moment. Une recherche sur Google leur aura permis de limiter les dégâts.
Effectivement, après avoir travaillé avec lui pendant 2 ans je me suis rendu compte de toutes ces manigances, ce dernier n’agissait pas seul mais avec un associé, un certain Roland B.
Qui ne sont d’autres que des baratineurs, manipulateurs, et prennent emprise sur de jeunes personnes pour leur faire faire le sale boulot au final ne jamais les payer.
Ravi que la lumière soit portée sur ce personnage.
il continue ! – et il ne s’arrêtera jamais